les drones redéfinissent les missions des pilotes de chasse

Le paysage de la guerre récente est en constante évolution avec le développement des technologies. L’une des innovations les plus remarquables est le développement des drones, qui pourraient avoir joué un rôle essentiel dans l’amélioration des caractéristiques des pilotes de chasse lors de leurs missions. Ces véhicules aériens sans pilote (UAV), communément appelés drones, ont révolutionné la manière dont les forces aériennes remplissent leurs fonctions en améliorant la reconnaissance, la sécurité, les avions de chasse français l’identification des cibles et même les capacités offensives. Cet essai explore la trajectoire du développement des drones et leur intégration dans les missions initiales des chasseurs, en soulignant leur rôle essentiel dans l’amélioration de l’efficacité fonctionnelle, la réduction des risques pour les aviateurs humains et le remodelage de la dynamique des combats aériens.

Les origines de la technologie des drones remontent au début du XXe siècle, lorsque des pionniers comme Nikola Tesla ont imaginé le concept d’avion sans pilote. Toutefois, ce n’est qu’au cours des cinquante dernières années du XXe siècle que des progrès significatifs ont été réalisés. Les années 1950 et 1960 ont vu le développement des premiers drones de reconnaissance tels que le Ryan Model 147, qui a été utilisé pendant la guerre du Viêt Nam. Ces drones, bien que primitifs par rapport à la technologie actuelle, ont jeté les bases de l’intégration des drones dans les procédures militaires.

L’une des principales contributions des drones aux missions des pilotes de chasse a été l’amélioration de leurs fonctions de reconnaissance. Dans le passé, les pilotes de chasse devaient se fier exclusivement aux capteurs de leur avion et à leurs propres observations pour la reconnaissance. Les drones ont révolutionné cet aspect en fournissant des données en temps réel et des images haute résolution du champ de bataille, ce qui permet aux pilotes de chasse de prendre des décisions plus éclairées. Cette évolution a non seulement accru l’efficacité des missions, mais elle a aussi considérablement réduit les risques liés aux missions de reconnaissance humaine en milieu hostile.

Le développement continu de la technologie des drones a conduit à la mise au point de drones de surveillance équipés de capteurs et de caméras élégants. Ces drones peuvent recueillir des renseignements dans des endroits normalement inaccessibles ou dangereux pour les pilotes d’avions de chasse. Ils peuvent rester en vol stationnaire pendant de longues périodes, ce qui leur permet de surveiller en permanence les positions, les mouvements et les activités de l’ennemi. Ces informations en temps réel permettent aux pilotes de chasse de mieux planifier leurs missions, de s’adapter à des situations changeantes et de répondre rapidement aux menaces émergentes.

En outre, les drones dotés de technologies avancées d’imagerie et d’identification des objectifs se sont révélés essentiels pour minimiser les dommages collatéraux lors des frappes aériennes. Les pilotes de chasse peuvent désormais identifier avec précision les cibles et vérifier leur état avant de lancer une frappe, ce qui réduit le risque de pertes civiles et de dommages aux infrastructures. Cette précision n’est pas seulement conforme aux considérations morales, elle contribue également à l’avantage stratégique de minimiser les conséquences involontaires et les réactions négatives de l’opinion publique.

L’un des avantages les plus importants que les drones offrent aux objectifs des pilotes de chasse est la possibilité d’opérer dans des environnements très dangereux sans mettre en danger des vies humaines. Dans le passé, les pilotes d’avions de chasse étaient confrontés à des conditions périlleuses et à la menace d’être abattus lorsqu’ils effectuaient des missions de reconnaissance ou participaient à des combats. Les drones, en revanche, peuvent être utilisés dans des territoires dangereux sans mettre en danger des vies humaines, ce qui permet aux pilotes de recueillir des informations essentielles, d’évaluer les menaces et même d’interagir à distance avec les objectifs de l’ennemi.

Ce changement dans la dynamique des risques a non seulement augmenté la capacité de survie des pilotes de chasse, mais a également transformé le calcul de la prise de décision tactique. Les commandants des services militaires sont désormais en mesure de déployer des drones pour recueillir des informations importantes avant d’engager des avions pilotés au combat, ce qui garantit une affectation beaucoup plus efficace des ressources et une plus grande probabilité de réussite de l’objectif.

Au-delà de la reconnaissance et de la surveillance, les drones ont également commencé à jouer un rôle dans les procédures offensives, transformant le paysage des combats aériens. Le développement de drones armés, communément appelés « chasseurs-fantastiques », a donné aux forces aériennes une toute nouvelle dimension de flexibilité opérationnelle globale. Ces drones armés peuvent effectuer des frappes de précision sur des cibles de grande valeur, perturber les communications de l’ennemi et engager des aéronefs agressifs, tout en étant gérés à distance par des pilotes de chasse.

L’intégration des drones dans les opérations offensives a redéfini le concept de supériorité aérienne. Les pilotes de chasse peuvent désormais se coordonner avec des drones armés pour mener à bien des missions complexes avec un risque réduit et une efficacité accrue. Cette synergie entre avions pilotés et non pilotés a créé un effet multiplicateur de force, dans lequel les capacités combinées des deux plates-formes dépassent ce qu’elles pourraient accomplir indépendamment.

L’évolution de la technologie moderne des drones et leur intégration dans les missions des pilotes de chasse ont ouvert une nouvelle ère de la guerre. Après des débuts modestes en tant qu’outils de reconnaissance, les drones sont devenus des moyens polyvalents qui permettent d’améliorer la reconnaissance, la surveillance, la reconnaissance des cibles et même les capacités offensives. Ces progrès ont non seulement accru l’efficacité opérationnelle des missions des pilotes de chasse, mais ils ont aussi considérablement réduit les risques pour les vies humaines et transformé la dynamique des combats aériens.

Au fur et à mesure que la technologie s’améliore, il est probable que les drones continueront à jouer un rôle de plus en plus crucial dans les opérations des services militaires. Leur remarquable capacité à recueillir des renseignements en temps réel, à engager des cibles et à opérer dans des environnements agressifs en fait un outil indispensable pour les forces aériennes modernes. La synergie entre les aviateurs de chasse et les drones démontre le potentiel de progrès et de collaboration dans le domaine de la guerre aérienne, garantissant que les opérations militaires restent fructueuses, efficaces et adaptables dans une planète en constante évolution.

Vitesse et Altitude au Rendez-vous

Le monde de l’aviation a été marqué par des développements étonnants de la technologie moderne, dont aucun n’est plus remarquable que le développement des chasseurs à réaction. Les chasseurs à réaction, parfois appelés le summum de l’ingénierie aéronautique, ont la capacité de parcourir rapidement de grandes distances tout en démontrant des manœuvres et des capacités de combat étonnantes. Deux paramètres clés définissent leurs performances : le taux d’accélération et le taux de montée. Ces paramètres illustrent non seulement les capacités remarquables de ces appareils, mais soulignent également l’interaction complexe entre l’aérodynamique, les systèmes de propulsion et l’ingéniosité des ingénieurs.

Le taux d’accélération, plus connu sous le nom d’accélération ou de « poussée G », est en fait une mesure fondamentale de la rapidité avec laquelle un chasseur à réaction peut augmenter sa vitesse. Cette mesure est essentielle pour une multitude de raisons, en particulier pour les décollages rapides, les manœuvres d’évasion et l’obtention et le maintien de rôles avantageux pendant les combats aériens. Les facteurs qui contribuent au taux d’accélération impressionnant d’un chasseur à réaction sont ses moteurs puissants, sa conception aérodynamique et ses composants légers.

L’un des principaux facteurs contribuant à l’accélération rapide d’un chasseur à réaction est son programme de propulsion. Les chasseurs à réaction modernes sont équipés de moteurs très performants qui génèrent une poussée énorme. Ces moteurs sont souvent conçus pour offrir un équilibre idéal entre une poussée élevée et l’efficacité énergétique. La combinaison d’une technologie de moteur moderne et innovante, telle que les postcombustions, et l’utilisation efficace de la vectorisation de la poussée permet aux chasseurs à réaction de générer une poussée beaucoup plus importante que leur propre excès de poids, ce qui se traduit par une accélération rapide.

L’aérodynamique joue un rôle important dans les performances de vitesse d’un chasseur à réaction. L’apparence du corps et des ailes de l’avion est méticuleusement conçue pour minimiser la traînée et augmenter la portance. Le profil élancé d’un chasseur à réaction réduit la résistance à l’air, ce qui lui permet de traverser l’atmosphère avec un minimum d’encombrement. En outre, certains chasseurs à réaction sont dotés d’ailes à géométrie variable qui peuvent être modifiées en cours de vol afin d’améliorer la portance et de réduire la traînée à des rythmes différents, ce qui améliore encore leurs capacités de vitesse.

En outre, les matériaux utilisés dans la construction des chasseurs à réaction jouent un rôle dans leurs remarquables capacités d’accélération. Ces avions sont souvent constitués de composants composites légers et robustes, tels que des polymères renforcés de fibres de carbone et de diététique et des alliages de titane. La combinaison d’une construction légère et de moteurs très efficaces permet d’obtenir un rapport poussée/poids élevé, ce qui est un aspect essentiel pour obtenir une accélération rapide.

Le taux de montée est en fait une mesure de la rapidité avec laquelle un chasseur à réaction peut s’élever à des altitudes plus élevées. Cette mesure est d’une importance capitale dans les scénarios de combat, car elle permet aux aviateurs de gagner rapidement des positions utiles, d’échapper au danger ou d’intercepter des menaces entrantes. Les normes qui influencent le taux de montée d’un chasseur à réaction comprennent les performances globales du moteur, l’aérodynamique, le rapport poussée/poids et l’altitude opérationnelle.

Les moteurs d’un chasseur à réaction jouent un rôle essentiel dans la détermination de son niveau de montée. Ces moteurs fournissent la poussée nécessaire pour vaincre la gravité et propulser l’avion vers le haut. Plus les moteurs sont efficaces, plus la pression qu’ils peuvent exercer sur la pression gravitationnelle est importante, ce qui se traduit par un taux de montée plus élevé. En outre, les moteurs dotés de systèmes avancés, tels que la poussée accrue par postcombustion ou la vectorisation de la poussée, permettent aux chasseurs à réaction d’effectuer des ascensions rapides et abruptes.

L’aérodynamique, une fois de plus, a un impact significatif sur les performances de montée d’un chasseur à réaction. La conception et le style de l’avion lui permettent de produire efficacement de la portance tout en minimisant la traînée. La forme des ailes, les profils des profils aérodynamiques et le style général du fuselage sont améliorés afin de créer la portance nécessaire pour contrebalancer l’excès de poids de l’avion. En créant une portance importante, les avions de chasse peuvent obtenir des angles de montée élevés et s’élever rapidement.

Le rapport poussée/poids, facteur essentiel de l’accélération, joue également un rôle crucial dans le prix de la montée d’un chasseur à réaction. Lorsque la poussée générée par les moteurs est nettement supérieure au poids de l’avion, celui-ci peut monter rapidement. Cela est particulièrement évident au décollage, lorsque l’avion a besoin d’une poussée importante pour vaincre à la fois la gravité et les frottements du sol.

L’altitude de fonctionnement, ou peut-être l’altitude à laquelle l’avion monte en flèche, a également un impact sur son taux de montée. À haute altitude, la densité de l’environnement diminue, ce qui affecte les performances aérodynamiques de l’avion. Les avions de chasse subissent généralement une diminution de la poussée due à la baisse de la densité de l’air, ce qui a un impact sur leur vitesse de montée. Par conséquent, la vitesse de montée peut varier en fonction de l’altitude opérationnelle et des considérations de conception de l’aéronef.

Le taux d’accélération et le taux de montée ne sont généralement pas des paramètres isolés, mais sont délicatement liés l’un à l’autre et aux performances globales d’un chasseur à réaction. Un taux d’accélération élevé permet à un chasseur à réaction d’atteindre rapidement la vitesse opérationnelle souhaitée, ce qui lui permet d’engager le combat ou d’échapper aux menaces avec succès. Cette vitesse est particulièrement essentielle lors du décollage, où l’avion doit obtenir une accélération spécifique avant de pouvoir décoller du sol.

Une fois dans les airs, la vitesse de montée devient cruciale. Un taux de montée rapide permet à l’avion de gagner rapidement de l’altitude, ce qui est avantageux dans différents scénarios. Par exemple, au cours d’un combat, gagner rapidement de l’altitude peut constituer un avantage idéal en offrant une meilleure exposition, de meilleures possibilités de fuite et un meilleur positionnement tactique. De même, lors de missions de reconnaissance ou d’interception, la montée maximale permet à l’avion d’atteindre rapidement l’altitude opérationnelle souhaitée pour des performances optimales.

En résumé, le taux d’accélération et le taux de montée sont deux paramètres primordiaux qui définissent les capacités extraordinaires des chasseurs à réaction. La fusion de systèmes de propulsion avancés, de l’ingénierie aérodynamique, avion de chasse de matériaux légers et de principes de conception et de style innovants permet à ces avions d’atteindre des taux d’accélération et de montée étonnants. Ces mesures ne témoignent pas seulement de l’ingéniosité humaine et des prouesses scientifiques, mais aussi de la recherche constante des limites de ce qui est réalisable dans le domaine de l’aviation. Les chasseurs à réaction, avec leurs performances exceptionnelles, continuent de symboliser les remarquables réalisations de l’ingénierie aéronautique.

 

Amazon enregistre deux autres offres de 5 milliards de dollars

Un ami non blogueur me pointe vers l’annonce aujourd’hui de l’offre de subvention du Maryland qui place le comté de Montgomery dans l’un des 20 emplacements finalistes.Le gouverneur Larry Hogan (R-MD) a fait une offre qui paierait à Amazon presque le coût total de son en fonction de ce que vous pensez qu’un taux d’actualisation approprié devrait être maintenant (indice: faible).
HQ2 », qui, selon Amazon, représentera un investissement final de 5 milliards de dollars, recevra un ensemble de subventions d’une valeur nominale de plus de 5 milliards de dollars (mais pas nécessairement de la valeur actuelle) du Maryland. L’élément le plus important de ce programme est un crédit d’impôt pour l’emploi de 5,75% des salaires jusqu’à 17 ans, sur des salaires en moyenne de 100 000 $ par année (minimum 60 000 $, maximum 500 000 $). Selon l’histoire liée ci-dessus, Amazon maximiserait cette incitation avec seulement 40000 emplois. Pour simplifier les calculs, cet élément paierait jusqu’à 5750 $ par an à Amazon X 40000 employés X 17 ans, soit 3,91 milliards de dollars.
D’autres éléments du paquet comprennent des crédits d’impôt foncier locaux et d’État (les gouvernements locaux seraient remboursés à 50% par l’État pour leur part), une exonération de la taxe de vente sur les matériaux de construction et un montant non spécifié d’infrastructure. Selon l’histoire liée, il y aurait des milliards de dollars »dans les améliorations du transport dans l’État, bien que l’article n’indique pas combien seraient spécifiques à Amazon et combien iraient ailleurs dans la région.
Pourquoi dis-je que cette offre est choquante? 1) Il normalise non seulement des ensembles d’incitations d’un milliard de dollars, mais des subventions de plusieurs milliards de dollars. Foxconn a obtenu 4 milliards de dollars l’an dernier du Wisconsin, selon la mise à jour d’octobre 2017 de Good Jobs First Megadeals. Maintenant, Amazon a reçu au moins trois offres (voir ci-dessous pour St. Louis) de plus de 5 milliards de dollars. Dans l’Union européenne, une incitation d’un milliard de dollars est pratiquement impossible même dans les régions les plus pauvres de l’UE, et absolument impossible dans des villes aussi riches que les 20 finalistes ici. En effet, peu ou pas des 20 seraient autorisés à offrir une quelconque subvention. 2) Ce qui est peut-être encore pire, il normalise le versement de subventions supérieures au coût de l’investissement (100% d’intensité d’aide, en termes de règles de l’Union européenne en matière d’aides d’État). Sérieusement, si un gouvernement doit payer plus que le coût total de l’investissement, il devrait avoir une participation légitime et importante, plutôt que d’utiliser l’investissement «comme un euphémisme pour une subvention». 3) Aucune de ces villes n’a remarqué que le chômage est à des niveaux historiquement bas? C’est précisément une raison pour ne pas céder le magasin. Examinons le taux de chômage de l’État pour les 20 qualificatifs en novembre 2017:
Colorado: 2,9%
Tennessee: 3,1%
Floride: 3,6%
Massachusetts: 3,6%
Indiana: 3,7%
Virginie: 3,7%
Source: pour les États américains et DC, Bureau of Labor Statistics, Local Area Unemployment Statistics. Pour l’Ontario, Alberta Government Economic Dashboard, publié le 5 janvier 2018.
Je ne suis pas la seule personne choquée. Greg LeRoy, directeur exécutif de Good Jobs First, a déclaré à l’économiste politique de la classe moyenne: En tant que contribuable du Maryland, je suis consterné que le gouverneur Hogan propose de subventionner le nouveau siège social d’Amazon à 100% avec des fonds publics. Je refuse de payer des impôts plus élevés pour une entreprise sur six appartenant à la personne la plus riche de la terre. »
LeRoy a également souligné que la candidature de Saint-Louis avait été rendue publique la semaine dernière après que la ville n’ait pas été nommée finaliste. Selon le St. Louis Business Journal, un partenariat entre l’État du Missouri, la ville de Saint-Louis, le comté de Saint-Louis, l’État de l’Illinois et le comté de St. Clair en Illinois a offert à Amazon 7,1 milliards de dollars de subventions, ce qui a légèrement diminué L’offre de 7 milliards de dollars de Newark est la plus importante offre connue à ce jour. Comme pour l’offre du Maryland, cela est choquant pour les mêmes raisons. En effet, le Missouri avait l’un des taux de chômage les plus bas de novembre 2017, à peine 3,4%.
Les programmes de subventions du Maryland et du Missouri sont tout simplement horribles. J’ai écrit il y a plus de six ans que les subventions publiques et locales étaient plus incontrôlables que jamais. » Au cours de ces six années, nous avons déjà vu cinq programmes incitatifs de 2 milliards de dollars, avec au moins un autre en cours, et les entreprises se sont encouragées à demander non pas des millions, mais des milliards de dollars de subventions. Je crains que nous envisagions une nouvelle montée en puissance des guerres d’attraction des investissements.

Les limites des moteurs à réaction en altitude

Les avions de chasse comptent parmi les équipements les plus innovants du monde de l’aviation. Ils sont conçus pour voler à haute altitude tout en effectuant de nombreuses manœuvres tactiques différentes. Cependant, malgré leurs remarquables capacités, les avions de chasse ne sont pas en mesure d’aller dans l’espace. La principale raison pour laquelle les avions de chasse ne peuvent pas aller dans l’espace est due à leur système de propulsion. Les moteurs à réaction, qui sont utilisés pour faire fonctionner les avions de chasse, ont besoin d’une entrée d’air pour fonctionner correctement. L’environnement doit pénétrer dans le moteur et se mélanger au gaz, ce qui crée la combustion et la poussée.

Néanmoins, à haute altitude, lorsque l’air est raréfié, les moteurs des avions de chasse commencent à perdre de la puissance. Cela est dû au fait qu’il y a beaucoup moins d’atmosphère pour le générateur et que l’atmosphère disponible n’est pas assez épaisse pour fournir l’oxygène nécessaire à la combustion. Par conséquent, les moteurs sont incapables de fonctionner efficacement et les avions de chasse deviennent minimes dans leur capacité à prendre leur envol. Pour résoudre ce problème, avion de chasse les engins spatiaux et les satellites utilisent des moteurs-fusées plutôt que des moteurs à réaction. Les moteurs-fusées ne dépendent généralement pas de l’ingestion d’atmosphère pour fonctionner, mais disposent de leur propre oxydant, tel que l’oxygène liquide. Cela signifie qu’ils peuvent créer une poussée dans le vide d’une zone où il n’y a absolument aucun flux d’air.

En outre, les avions de chasse ne sont généralement pas conçus pour résister aux problèmes intenses de l’espace extérieur. La température et les niveaux de radiation sont très différents de ceux que l’on connaît dans l’atmosphère, et les avions de chasse ne sont pas conçus avec les technologies et l’équipement nécessaires pour faire face à ces problèmes. Par conséquent, les avions de combat sont limités en altitude et ne sont pas en mesure d’atteindre la haute atmosphère ou la zone externe en raison de leurs systèmes de propulsion. Ils sont conçus pour être utilisés dans l’environnement terrestre et dépendent de la consommation d’atmosphère pour produire la poussée nécessaire au vol en ligne. Pour se rendre dans l’espace, il faut des véhicules spécialisés, tels que des vaisseaux spatiaux et des fusées, qui sont développés spécialement pour fonctionner dans le vide de l’espace et qui utilisent des moteurs-fusées pour la propulsion.

Le style est un autre élément qui limite l’accès à l’espace des avions de combat de la MMA. Les avions de combat sont construits pour être élégants, avec un nez pointu et un physique élancé qui leur permet d’atteindre des vitesses élevées et une grande maniabilité. Néanmoins, cette conception et ce style ne conviennent pas aux voyages dans l’espace, qui requièrent une forme différente de véhicule. Les vaisseaux spatiaux sont créés pour résister aux problèmes difficiles de l’espace, tels que les températures et les rayons extrêmes, et nécessitent des équipements spécialisés tels que des propulseurs et des boucliers thermiques pour fonctionner avec succès.

En outre, les avions de chasse ne sont pas équipés des méthodes d’aide à la vie nécessaires pour préserver la vie humaine dans l’espace. Les vaisseaux spatiaux nécessitent toute une série de systèmes pour maintenir les astronautes en vie et en bonne santé, tels que la source d’oxygène, l’administration des déchets et la gestion de la chaleur. Ces méthodes ne sont généralement pas présentes dans les avions de chasse, ce qui rend impossible l’assistance à la vie humaine dans l’espace. Si les avions de chasse ne sont pas capables d’aller dans l’espace, de nombreux types d’aéronefs le peuvent. Par exemple, les vaisseaux spatiaux tels que la navette spatiale et la station spatiale internationale sont conçus spécialement pour les voyages dans l’espace et comprennent les technologies et les équipements essentiels pour survivre et fonctionner dans l’atmosphère hostile de l’espace.

En conclusion, les avions de combat sont des appareils remarquables conçus pour la vitesse, l’agilité et les manœuvres tactiques. Néanmoins, en raison de leurs techniques de propulsion, de leur conception et de l’absence de systèmes d’aide à la vie, ils ne sont pas en mesure de se rendre dans l’espace. Les vaisseaux spatiaux sont spécialement conçus pour les vacances dans l’espace et sont dotés de la technologie moderne et des dispositifs nécessaires pour prospérer et fonctionner dans l’atmosphère désagréable de l’espace.

Les éditions limitées de sneakers, un phénomène mondial

Au cours des dernières années, le marché des chaussures de sport a connu un véritable essor. Ce qui n’était autrefois qu’un domaine d’intérêt pour les amateurs et les passionnés est devenu une industrie de plusieurs milliards d’euros qui attire l’attention des acheteurs, des créateurs de mode et des célébrités. Dans cet essai, je vais explorer les normes qui sous-tendent l’augmentation du marché des baskets et les raisons pour lesquelles il s’agit d’une tendance si importante aujourd’hui.

L’une des principales raisons de l’essor du marché des baskets est la tendance croissante de l’athleisure. L’athlétisme est en fait un modèle de mode qui combine les vêtements de sport et les vêtements de tous les jours, créant ainsi un look confortable et branché, parfait pour la vie quotidienne. Les chaussures sont un élément important de cette tendance, sneakers collaborations car elles offrent à la fois confort et style. Les gens sont de plus en plus soucieux de leur santé et cherchent à adopter un style de vie actif. Ils s’efforcent donc de trouver des chaussures confortables et élégantes à porter à l’intérieur comme à l’extérieur de la salle de sport. Cela a créé une demande importante pour des chaussures de sport de haute qualité et à la mode.

Un autre facteur qui contribue à l’essor du marché des baskets est l’émergence d’éditions exclusives et de produits distinctifs. Des fabricants de baskets comme Nike, Adidas et Puma proposent des chaussures en édition limitée en collaboration avec des créateurs de mode, des musiciens et des célébrités. Ces éditions limitées sont très recherchées et se vendent souvent dans les minutes qui suivent leur sortie. Cette exclusivité a suscité un engouement et une excitation sur le marché des chaussures de sport, ce qui a fait grimper la demande et les prix.

Les réseaux sociaux ont également joué un rôle important dans l’essor du marché des chaussures de sport. Des plateformes comme Instagram et Twitter ont créé une communauté de fanatiques de baskets qui partagent leurs collections, discutent des nouvelles sorties et publient des photos de leurs derniers achats. Cela a créé une tradition autour des chaussures, où le fait de posséder les dernières nouveautés et de nombreuses exclusivités est considéré comme un symbole de statut social. Les réseaux sociaux ont également permis aux hommes et aux femmes d’acheter et de vendre plus facilement des chaussures de sport en ligne, créant ainsi un marché mondial beaucoup plus accessible pour les chaussures de sport.

L’essor du marché des baskets a également attiré l’attention des commerçants et des chefs d’entreprise. Le nombre de revendeurs de baskets, qui achètent des chaussures en édition limitée et les revendent à un prix majoré, a considérablement augmenté. Cela a créé un marché secondaire pour les chaussures de sport, dont la valeur est estimée à des montants considérables. En outre, les fabricants de baskets ont également commencé à investir davantage dans leur marketing et leur image de marque, en créant des collaborations avec des célébrités et en recrutant de grands événements sportifs. Cela a contribué à accroître la visibilité et la popularité des baskets, les rendant plus désirables pour les clients.

La prospérité du marché des baskets est due à une combinaison d’éléments, notamment l’essor des vêtements de loisir, les éditions exclusives, les réseaux sociaux et la croissance du marché secondaire de la chaussure. L’intérêt pour les baskets ne cessant de croître, il y a fort à parier que l’industrie des baskets connaîtra davantage de développement et d’imagination, les entreprises s’efforçant de suivre les nouvelles tendances et de capter l’intérêt des consommateurs.

Biologie: sous les mers

Biologie de la mer, la recherche scientifique qui traite des animaux et de la végétation vivant dans l’océan. De plus, il traite des organismes aériens et terrestres qui dépendent directement des plans d’eau salée pour se nourrir et d’autres besoins de la vie. Dans la perception la plus large, il tente de décrire tous les phénomènes vitaux relatifs aux myriades d’êtres vivants qui habitent dans les immenses océans du globe. Certains de ses membres spécialisés concernent le fond naturel, la taxonomie, l’embryologie, la morphologie, la physiologie, l’écologie et la distribution géographique. La biologie de la mer est étroitement liée à la science de l’océanographie en raison de la relation entre les attributs physiques des océans et les micro-organismes qui y vivent. Il aide à la connaissance de la géologie marine via l’étude des micro-organismes qui ajoutent leur squelette au sol des océans ou qui élaborent les vastes récifs coralliens des mers tropicales. Un objectif principal de la biologie marine est de découvrir comment les phénomènes marins contrôlent la distribution des organismes. Les biologistes marins étudient la manière dont des organismes spécifiques s’adaptent aux différentes qualités chimiques et physiques réelles de l’eau de mer, aux mouvements et courants de l’océan, à la disponibilité de la lumière à différentes profondeurs, ainsi qu’aux surfaces solides qui la composent. le fond marin. Un intérêt unique est porté à la détermination de la dynamique des écosystèmes marins, notamment à la connaissance des chaînes alimentaires et des partenariats prédateurs-victimes. Les informations biologiques marines sur la syndication des communautés de fruits de mer et de crustacés sont d’une importance capitale pour la pêche. La biologie marine se concentre également sur les effets de certaines formes de pollution de l’air sur la durée de vie des poissons et des herbes dans les océans, en particulier les effets du ruissellement de pesticides et d’engrais provenant de sources immobilières, les éclaboussures involontaires des pétroliers essentiels et l’ensablement des activités de construction du littoral. Au cours de la seconde moitié du 19e siècle, lorsque l’accent était mis sur la collecte, la description et le catalogage des micro-organismes marins, des techniques se sont développées pour la capture et la conservation de spécimens pour la recherche. Les biologistes marins ont adapté des dragues et des chaluts conventionnels pour recueillir des spécimens sur le fond marin ; et des filets à arceaux ont été utilisés pour protéger les créatures nageant totalement librement. De nouveaux instruments pour collecter des échantillons d’eau et acquérir des informations sur la température à n’importe quelle profondeur souhaitée ont été créés. À la fin du XIXe siècle, l’objectif principal a commencé à passer de la collecte et du catalogage à l’évaluation systématique des écosystèmes marins ainsi que des emplois écologiques et du comportement du mode de vie marin. Au début du vingtième siècle, les océanographes expérimentés ont commencé à étudier de manière intensive les lieux de pêche à la ligne et d’autres localités d’importance financière. Cette recherche combinait des recherches sur la vie végétale et animale marine, les courants océaniques, la température de l’eau, la salinité et les niveaux d’oxygène, ainsi que d’autres facteurs afin de comprendre le lien entre les créatures marines et leur environnement. Depuis la Seconde Guerre mondiale, l’observation immédiate des micro-organismes marins dans leurs habitats naturels continue d’être rendue possible par des caméras numériques sous-marines, la télévision, des équipements de plongée améliorés et des engins submersibles, ou sous-marins, qui descendront à de grandes profondeurs. La télévision sous-marine fournit à l’observateur une image constante des événements qui se produisent dans le domaine de l’appareil photo numérique immergé. La création d’équipements de plongée personnels a permis à l’enquêteur d’inspecter les micro-organismes marins dans leur habitat naturel. Les études morphologiques et taxonomiques des micro-organismes marins sont généralement réalisées sur des matériaux conservés en relation avec le métier dans les galeries et les universités. Les recherches physiologiques et embryologiques nécessitant l’utilisation de matériel vivant sont généralement recherchées dans les stations biologiques. Ils sont situés en bord de mer, facilitant ainsi le transfert rapide des spécimens vers le laboratoire où ils pourront être pris en charge dans l’eau de mer fournie par des systèmes uniques de remise en circulation. En réalité, l’accent principal de la géologie marine continue d’être sur la sédimentation marine et aussi sur la compréhension des nombreux échantillons de base qui ont été obtenus au fil des ans. L’arrivée du concept d’expansion des fonds marins dans les années 1960 a cependant considérablement élargi l’éventail de la géologie marine. De nombreuses recherches sur les dorsales médio-océaniques, le magnétisme rémanent des roches sur le fond marin, les analyses géochimiques de fortes piscines de saumure, l’étalement du fond marin et la dérive continentale pourraient être envisagées dans le domaine général de la géologie marine.

Comment les expériences de vie nous aident à nous connecter à nous-mêmes et aux autres

Les êtres humains sont des créatures compliquées qui ont la capacité de ressentir, de penser et d’expérimenter réellement. Être vivant, c’est plus que d’avoir une existence physique ; cela exige la capacité de percevoir et d’interpréter le monde qui nous entoure. L’importance des expériences de séjour dans le sentiment de vivre pleinement est un sujet qui a été découvert par de nombreux philosophes à travers l’histoire. Dans cet article, nous allons nous pencher sur la valeur des rencontres vivantes pour nous aider à nous sentir vraiment pleins de vie.

L’expérience de la vie est caractérisée par l’accumulation constante d’expériences. C’est grâce à ces expériences que nous pouvons grandir, apprendre et acquérir une meilleure compréhension de nous-mêmes et du monde qui nous entoure. Chaque fois que nous nous engageons dans des expériences nouvelles et passionnantes, nos sens sont exacerbés et nous devenons plus attentifs au moment présent. Ce sentiment d’être plein de vie est essentiel au bien-être et constitue un aspect essentiel de l’expérience de l’être humain.

L’une des principales raisons pour lesquelles les expériences de résidence sont extrêmement importantes est qu’elles nous aident à nous libérer de la monotonie de nos programmes quotidiens. Lorsque nous nous engageons dans de nouvelles activités, nous devons sortir de nos zones de confort et affronter de nouvelles difficultés. Cela peut être à la fois effrayant et exaltant, mais cela conduit finalement au développement et à l’épanouissement personnels. En découvrant de nouvelles perspectives, Tematis nous apprécions davantage le monde qui nous entoure et sommes mieux à même d’y comprendre notre place.

Une autre raison pour laquelle les rencontres vivantes sont si essentielles est qu’elles nous donnent un sentiment d’objectif et de sens. Lorsque nous nous engageons dans des activités qui nous enthousiasment, nous éprouvons un sentiment de satisfaction qu’il est difficile de reproduire par d’autres moyens. Que ce soit par le biais des voyages, du bénévolat ou simplement en essayant de nouvelles choses, les expériences vivantes ont le pouvoir d’allumer en nous un sentiment d’objectif et de nous aider à trouver un sens à notre vie.

Les rencontres vivantes sont également importantes pour nous aider à établir des liens significatifs avec les autres. Lorsque nous nous engageons dans des activités avec d’autres personnes, nous sommes en mesure de partager l’expérience et de créer des liens fondés sur des intérêts et des expériences communs. Ces liens sont essentiels car ils nous donnent un sentiment d’appartenance et nous aident à nous sentir réellement plus attachés au monde qui nous entoure.

On ne saurait trop insister sur l’importance des rencontres pour se sentir vivant. S’engager dans des expériences nouvelles et passionnantes est essentiel pour notre croissance, notre développement et notre bien-être général. C’est vraiment grâce à ces expériences que nous sommes en mesure de rompre avec la monotonie de nos routines quotidiennes, de découvrir un but et un sens, et de nouer des liens significatifs avec d’autres personnes. En donnant la priorité aux expériences vivantes, nous sommes en mesure d’embrasser pleinement l’expérience humaine et de trouver l’épanouissement dans tous les aspects de notre vie.

Le climat et la géographie

La terre est susceptible d’être au moins 3°C plus chaude en 2100 qu’au moment de la création même lorsque des actions instantanées et extrêmes sont menées (Tollefson 2020). Le changement climatique est donc un obstacle déterminant de nos propres occasions (la perte de biodiversité est tout aussi pressante). Les situations du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) offrent une modélisation avancée des interactions complexes entre l’activité humaine et le climat. Mais, leur modélisation des effets spatiaux hétérogènes et des marges multiples affectées par cette tendance reste assez simpliste (Cruz et Rossi-Hansberg 2021a, 2021b). Abordant le numéro d’Oswald et Stern (2019) et les derniers efforts ultérieurs comme le problème unique du journal Financial Policy (Azmat et al. 2020), nous avons maintenant rassemblé cinq documents dans un nouveau problème spécial du Journal of Economic Geography (JoEG) qui jouent un rôle dans la résolution de ces points faibles et abordent les raisons principales de deux thèmes principaux de la géographie financière du changement climatique.1 Initialement, le changement climatique produit des effets qui sont hétérogènes à travers la pièce. À leur tour, certaines régions du globe perdront plus de population et de production pour chaque habitant que les autres, et certaines pourraient même être bien mieux loties en conséquence. Plusieurs documents de ce numéro unique documentent cette hétérogénéité à une grande échelle spatiale. Par exemple, Shape 1 passe en revue l’alternance de température prévue à partir d’une augmentation de 1°C de la chaleur mondiale dans une résolution de 1° x 1° pour l’ensemble de la planète autour de 2200.2 L’hétérogénéité qui en résulte est stupéfiante. Deuxièmement, les humains (ainsi que d’autres variétés) devront s’adapter pour vivre. Les marges d’action pour ralentir le réchauffement climatique incluent la création d’habitudes d’utilisation et de procédures de création beaucoup moins intensives en dioxyde de carbone et en méthane. Un certain nombre d’articles sur ce problème unique mettent l’accent sur l’adaptation par la migration et la mobilité géographique. En particulier, les articles soulignent comment une mobilité insuffisante pourrait contribuer à aggraver les coûts socio-économiques du changement climatique. Dans le premier article du numéro unique, Conte, Desmet, Nagy et Rossi-Hansberg (2021a ; voir aussi Conte et al. 2021b) abordent chacun des thèmes mentionnés précédemment, et nous organisons cette chronique Vox en fonction de leur point de vue. Les auteurs présentent une conception quantitative de croissance spatiale dynamique mettant en vedette, comme avec la fonction révolutionnaire de William Nordhaus (1993), les relations à double sens entre l’activité économique, les émissions de dioxyde de carbone et la chaleur. Notamment, l’évaluation permet deux secteurs (agriculture et basse agriculture) qui réagissent de manière hétérogène à la chaleur, ainsi qu’une désagrégation spatiale très fine – les auteurs fournissent à leur modèle des données sur la population, la température et la production sectorielle à un 1 résolution ° x 1° pour le monde entier, et avec des augmentations du stock de carbone et des plages de températures mondiales qui suivent le scénario du GIEC à forte intensité de carbone appelé Agent Focus Pathway 8.5. En utilisant la conception ainsi ajustée, ils l’ont laissé fonctionner pendant 200 ans pour quantifier les résultats spatialement hétérogènes du changement climatique sur la population, le PIB par habitant et le mélange de production d’agriculture et de faibles rendements agricoles. Ils s’inquiètent également des emplois du commerce et de la migration en atténuant ou en amplifiant les déficits causés par les changements climatiques pour chaque unité spatiale de 1° par 1°. Le scénario initial de Conte et al. (2021a) suppose que les frictions vers la mobilité des communautés et des biens sont continues dans le temps. Leur modèle anticipe que la Scandinavie, la Finlande, la Sibérie et le nord du Canada gagnent des communautés et voient des augmentations de revenu pour chaque habitant, tandis que l’Afrique du Nord, la péninsule arabique, l’Inde du nord, le Brésil et l’Amérique centrale perdent ces deux questions. La forme 2, qui reproduit la forme 6 dans leur article, rapporte l’effet du changement climatique sur la population attendue en 2200. L’agriculture devient spatialement plus concentrée et se déplace vers les pays d’Asie centrale, la Chine et le Canada. Ces scénarios impliquent un mouvement substantiel des communautés à l’intérieur et à travers les nations, en particulier si le commerce est coûteux. Par conséquent, les obstacles à la flexibilité peuvent créer des transitions beaucoup moins efficaces.

La collapsologie

Michel Rosell ramasse une masse de documents et les divise en deux piles. À gauche, des factures : une seule page. À droite, une gerbe de caractères de copains et d’amoureux. « Si la pile de lettres augmente plus vite que la pile de dépenses, vous êtes sur la bonne voie », dit Rosell. « Si c’est l’inverse, vous êtes sur la mauvaise voie. Ce n’est pas très difficile, la révolution que je suggère. »

Nous sommes assis sur un banc en bois, dans un bureau en bois, sous un toit fait de rubans de bois tressés, dans la maison de Rosell dans les Cévennes, un ensemble de montagnes dans le sud de la France. Rosell a l’air de quelqu’un qui lutte contre une tendance depuis un demi-siècle : cheveux blancs indomptés, torse et pieds nus, bas de survêtement sombre et sale. Un Robinson Crusoé battu par les intempéries, toujours en pleine forme et prêt à affronter des cannibales – ou des capitalistes – à 73 ans.

Ils résident ici, loin de toute rue ou autre habitation, depuis les années 70, peu de temps après être sortis, essoufflés et ensanglantés, des révoltes étudiantes de 1968 à Paris. Beaucoup de ses camarades rebelles ont préconisé un retour à un mode de vie plus simple, mais peu l’ont mis en œuvre. Il a trouvé un terrain isolé dans la zone la moins densément habitée de France et y a construit une maison bioclimatique, c’est-à-dire une maison dont les spécifications énergétiques sont réduites et dont l’empreinte environnementale est allégée.

Il a accumulé l’eau de pluie, fait du compostage, recyclé son eau potable usée et chauffé sa maison avec du bois de chauffage et des panneaux solaires. Pas pour lui la fonction salariée, qu’il qualifie de « cinq temps de prostitution accompagnés de deux jours de réanimation ». Il préfère prendre ce dont il a besoin – sans plus – dans la nature. Le jour où je passe à la caisse, il nous fait la démonstration d’un bassin peu profond rempli d’eau économe en électricité, où il développe la spiruline, une algue riche en protéines : savoureuse, dit-il, avec de l’huile d’olive et une gousse d’ail. Elle s’accorde avec une alimentation riche en plantes sauvages : 70 espèces en tout, qu’il cueille dans la forêt.

Rosell vit actuellement seul. Il n’a pas confiance dans le mariage et n’a jamais eu d’enfants, déclare-t-il, mais les individus ont approuvé à travers. Certains sont arrivés par intérêt, et sont repartis ; d’autres personnes ont emménagé. Il a appris à ceux qui étaient intéressés comment rester aussi autonome que possible. De jeunes adultes assez audacieux pour s’aventurer dans son université d’écosystème combiné appliqué ont construit des surfaces murales à partir de tournesols écrasés et de bouse de vache, des moteurs qui marchaient sur des algues, stage de survie et des matelas de roseaux qui transformaient les eaux usées en eau potable. Tout cela était résolument expérimental, et ne fonctionnait pas toujours. Mais sa stratégie, méprisée comme inhabituelle par ses contemporains, est apparue de plus en plus pratique aux générations effrayées que l’humanité ait ruiné la planète au-delà de toute restauration, puis urgente à la quantité croissante de ses compatriotes qui croient que leur société est au bord de l’effondrement.

La conviction que nous allons vers une sorte de situation d’effondrement n’est pas exclusivement française, évidemment. D’importants scientifiques du monde entier en parlent. Les Américains fortunés ont acheté des places dans des bunkers à l’épreuve de l’Armageddon bien avant Covid-19, et les mouvements militants de protestation environnementale et sociale sont en hausse partout. En Europe, cependant, une étude de marché publiée en novembre dernier par le thinktank français de gauche, la Fondation Jean Jaurès, a découvert que seule l’Italie battait la France pour le pessimisme concernant le long terme. Soixante et onze pour cent des Italiens et 65 % des Français sont d’accord avec la déclaration selon laquelle « la civilisation telle que nous la connaissons s’effondrera dans les années à venir » ; 56 % des Britanniques partagent cette vision apocalyptique – légèrement devant les Américains, à 52 % – tandis que les Allemands arrivent en dernière position avec un optimisme de 39 %. En 2015, deux Français, Pablo Servigne et Raphaël Stevens, qui se décrivent comme des experts impartiaux, ont coécrit un essai intitulé Comment tout peut s’effondrer, dans lequel ils ont lancé le mot « collapsologie ». Dans un long entretien que Servigne a accordé à la publication Philosophie cette saison, il a expliqué qu’au départ, leur néologisme avait la bouche en cœur. Mais l’idée a dû faire mouche, tout simplement parce qu’en quelques années, ils se sont retrouvés à la tête du mouvement, et cet été, le terme collapsologie est entré dans le dictionnaire français le plus populaire, Le Petit Robert. « Nous avons fait une bête », a déclaré Servigne à Philosophie.

La cuisine de confinement

Les nouvelles sont très mauvaises. Tu n’as pas besoin que je te le dise.

Le monde – oui, tout le monde – est en crise. Le coronavirus se propage, le chômage monte en flèche et une couche d’anxiété et de stress s’est installée à New York, où j’habite, comme un brouillard imperméable. Sur mon écran, je regarde le nombre de personnes infectées augmenter et le nombre de ventilateurs disponibles diminuer. Je m’inquiète pour mon père, qui travaille dans un hôpital du Mississippi et qui prépare des tartes pour les infirmières, et ma belle-sœur, un pédiatre travaillant dans une unité de soins intensifs d’Atlanta. Je m’inquiète pour mes voisins, qui sont des aides à domicile, des nounous et des employés du MTA, qui vont travailler pour que la ville soit toujours fonctionnelle de base, même maintenant. Je m’inquiète des réseaux de personnes qui en sortent. Je m’inquiète pour mes amis qui ont été licenciés, les employés de restaurant qui ont du mal à rester à flot, toutes les personnes qui font que vivre à New York en vaut la peine. Je me sens impuissant, inutile, frustré et effrayé.

Mais je sais que j’ai aussi énormément de chance. Non seulement je avoir un travail qui permet de travailler à domicile, un toit au-dessus de ma tête, et, pour le moment, ma santé, j’ai aussi un exutoire pour mon stress qui est disponible à une dizaine de mètres du canapé où j’écris ceci: mon cuisine.

À la fin de la vingtaine, la cuisine est passée, pour moi, de la corvée au répit. Cela demande de l’attention et de la créativité d’une manière que je trouve apaisante. Même si ma cuisine est ridiculement petite et que je n’ai pas grand-chose à voir, c’est un endroit où je peux marcher et me sentir un peu plus calme. C’est là que j’ai fait d’énormes repas élaborés, mangé des pizzas froides tout en parcourant le réfrigérateur et donné des cuillerées de purée de pommes de terre à des amis. La cuisine pour les autres me manque, mais je trouve toujours un grand réconfort dans l’acte de cuisiner. Lorsque je sors ma planche à découper et que je commence à hacher des oignons, mes épaules se détendent et une partie de mon cerveau passe à la mémoire cinétique de la façon de trancher, émincer, éplucher. Je garde mijoter une casserole de haricots ou une miche de pain juste pour vérifier, pour me rappeler la nourriture.

ne pas tout le monde ressent cette façon de cuisiner, c’est compréhensible. Il peut être lui-même une source de stress plutôt qu’un soulagement. Et ne vous méprenez pas, parfois ça me fait trop ressentir. Le lavage constant de la vaisselle et le réapprovisionnement des ingrédients, la fabrication des aliments, repas après repas. Ça ne finit jamais. Il faut du courage pour suivre les mouvements de la vie quotidienne, face à une telle incertitude écrasante et à de terribles prédictions sur l’avenir. Nous ne savons pas quand cela se terminera et nous devons donc continuer. C’est trop demander, mais c’est aussi tout ce que nous pouvons faire.

Je reviens toujours à quelque chose que Nigella Lawson a tweeté l’autre jour: « Je pense que la cuisine est une forme d’optimisme. » Je le crois aussi. Je sais que j’y trouve de la joie, et quelle que soit la joie que je puisse ramasser, on en a grand besoin ces jours-ci. Je sais que faire assez de nourriture pour demain est une façon de me dire que demain arrivera et ne sera pas, du moins, pas aujourd’hui. Beaucoup de gens comptent également sur la cuisine maison, certains en ordre de grandeur plus qu’ils avoir avant. J’espère que vous aussi pourrez y trouver de la joie, ou du moins une certaine satisfaction dans l’acte simple et vital de se nourrir, de se nourrir et de nourrir sa famille.

Voici ce que nous avons publié sur la façon de cuisiner à la maison en cette période de crise.

Achetez de la nourriture en toute sécurité
En temps normal, aller à l’épicerie est l’une de mes activités préférées. De nos jours, c’est beaucoup plus stressant. Voici ce qu’il faut savoir sur les achats de nourriture en toute sécurité en cas de pandémie.

Stockez bien votre garde-manger
Si vous avez besoin d’idées sur ce qu’il faut rechercher, voici des conseils sur la façon de stocker votre garde-manger pendant le coronavirus. Procurez-vous également quelques épices pour vous assurer d’avoir de la saveur quoi qu’il arrive. Si vous trouvez que l’organisation est un soulagement, voici un excellent guide pour mettre de l’ordre dans votre garde-manger. Si vous avez besoin de moyens pour maximiser l’espace dont vous disposez, voici quelques bonnes solutions de stockage.

Stockez les choses pour qu’elles durent
Une fois que vous aurez terminé votre course d’épicerie, vous voudrez la faire durer le plus longtemps possible. Apprenez à conserver correctement tout légume. Congelez vos produits laitiers ne sera pas utilisé à leur expiration (oui, même du lait). Conservez les herbes pour le long terme.

Gardez les idées de dîner à faible hauteur
Même si je ne quitte pas beaucoup la maison, il est difficile de se concentrer sur un grand projet de cuisine compliqué. J’ai eu de nombreuses nuits où j’ai besoin de quelque chose de simple et immédiat. Voici des recettes faites principalement (ou entièrement) à partir d’agrafes de garde-manger. Si vous voulez réduire la vaisselle, essayez ces dîners faciles à casserole ou ces repas que vous pouvez préparer dans une seule casserole. Besoin de quelque chose de sucré? Voici également quelques desserts simples à essayer.

Laisser mijoter quelque chose toute la journée
Si vous aimez, comme moi, avoir un projet de cuisine en arrière-plan de votre journée, voici nos meilleures recettes de mijoteuse, facilement adaptables à une cuisinière ou à une marmite instantanée. J’adore les haricots secs à cet effet, voici donc un guide sur la façon de cuisiner des haricots secs et comment les rendre délicieux, ainsi que comestibles, et un tour d’horizon des recettes de haricots de toutes les descriptions. Une autre bonne option est le braisage d’un gros morceau de viande, comme ces recettes.

Faire du pain
Faire du pain a quelque chose de magique. C’est si simple: eau, farine, sel, levure – et pourtant elle fournit tellement de nourriture. Voici un guide pour débutants de la cuisson au levain. Essayez-vous aux pains plats ou aux baguettes avec ces recettes de pain. Préparez une miche de pain de type boulangerie croustillante sans levain. Ajoutez un peu de vin à la pâte, recettes de cuisine pourquoi pas. Vous commencez juste à cuire? Voici quelques projets débutants à maîtriser.

Utilisez tout ce que vous pouvez
Enregistrez vos peaux d’oignon. Accrochez-vous aux restes pour faire un bouillon savoureux. Repousser les légumes à partir de restes. Gardez vos écorces de parmesan et ajoutez-les aux soupes et bouillons.

Stockez votre congélateur
Il est utile, émotionnellement et pratiquement, d’exploiter une vague de motivation et d’énergie pour faire des choses pour lesquelles vous n’aurez pas cette énergie plus tard. Voici quelques recettes qui se congèlent très bien, comme la sauce tomate, les soupes et le piment, pour que l’avenir vous permette d’en décongeler une partie. Besoin de recettes en gros lots que vous pouvez répartir au cours de la semaine prochaine? En voici 53.

Quoi que vous cuisiniez, n’oubliez pas que nous essayons tous de faire de notre mieux. Les choses ne doivent pas être parfaites pour être bonnes ou durables. Utilisez ce que vous avez, nourrissez-vous ainsi que vos proches et trouvez de la joie là où vous le pouvez.