Le chef de la direction américaine, Donald Trump, a critiqué la détermination des Européens en matière de surveillance de la concurrence pour Yahoo et Google 5 milliards de dollars mercredi, déclarant que l’UE avait « entrepris une bonne chose à propos des États-Unis ». Il a composé sur Flickr jeudi: « Je l’ai mentionné, l’Union européenne vient de donner 5 milliards de dollars à nos super organisations, les moteurs de recherche, mais ils ont tout de même bénéficié des Etats-Unis, pas très longtemps! » Trump semblait utiliser l’amende antitrust comme un outil dans son conflit d’achat et de vente en cours en utilisant le Western Union. Mercredi, il est en danger de « représailles incroyables » contre l’UE sauf si le bloc accepte des concessions industrielles considérables. Il est corrélé avec la sélection du commissaire européen à la concurrence d’accord Google la plus grande peine antitrust nivelé sur une entreprise, au-dessus de son abus du système d’exploitation mobile Android os proéminent. Margrethe Vestager a expliqué que Yahoo avait utilisé son application de téléphonie mobile préférée pour protéger sa place de recherche. La recherche a commencé en 2015, pré-en ligne datant de la présidence de Trump de plus d’une saison, et n’est pas immédiatement pertinent pour les affaires entre les États-Unis et l’UE. Vestager a été interrogé sur Trump mercredi, en raison du contexte d’anxiété croissante impliquant l’UE et les États-Unis. Un journaliste a offert à Trump, qui a déclaré le mois dernier au directeur des paiements de la Commission de l’Ouest, Jean-Claude Juncker, lors du sommet du G7: «Votre femme aux impôts déteste les Etats-Unis. Vestager a plaisanté en disant que l’assertion n’était que 50% réelle. « En fait, je contribue à la fiscalité et que je suis une femme dans l’ordre qui est tout à fait raison », elle a mentionné, mais inclus: « J’aime les États-Unis. » Trump intensifie sa rhétorique contre le syndicat, expliquant l’UE comme un «ennemi» des États-Unis. Trump a imposé des tarifs douaniers sur les importations de métaux et d’aluminium en provenance de l’UE, qui envisage d’étendre ces droits aux automobiles importées. Le leader devrait mener des pourparlers avec le directeur des paiements de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, à la propriété blanche après ces 7 jours, où il pourrait choisir d’afficher à nouveau les moteurs de recherche.
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Conduire sans limitation de vitesse
Même si c’était il y a longtemps, je me souviens qu’à mes débuts de conducteur, lorsque je venais d’avoir le permis, j’éprouvais un plaisir immense à prendre la route à tout bout de champ. Pas même pour aller quelque part : peu importait la destination, il s’agissait avant tout de conduire pour conduire. Malheureusement, ce plaisir a été entaché avec les années. C’est que, voyez-vous, la conduite sur route peut-être incroyablement frustrante. En fait, elle l’est même presque toujours. Même sur les routes désertes, on n’y coupe pas : à chaque virage, on se retrouve freiné par un conducteur du dimanche ou un tracteur, sans possibilité de le doubler pendant des kilomètres. Ces petits désagréments permanents ont sérieusement entaillé mon plaisir à tailler la route. Mais il y a peu, je l’ai retrouvé, en des circonstances très particulières. Je me suis en effet offert une expérience insolite : un stage de pilotage sur circuit à Clermont, au volant d’une Aston Martin. Rien que ça ! Dire que j’en ai pris plein les yeux serait un doux euphémisme : j’ai été sidéré tout du long, plutôt ! Les accélérations de ce petit bijou étaient telles que je me retrouvais scotché au siège à chaque fois ! J’avais un peu le sentiment d’être sur un animal enragé. Rien à voir avec mon Opel Corsa ! Les virages, aussi, étaient un pur moment de bonheur. Le circuit n’avait qu’une seule ligne droite et comptait essentiellement des virages bien tordus. Mais c’est ce qui faisait en définitive le charme du circuit : il fallait sans cesse freiner à l’entrée du virage pour accélérer dès la sortie et s’envoler, tel un diable qui sort de sa boîte. Un vrai rêve, qui requiert certes pas mal de concentration (je peux vous assurer qu’en quittant ce bolide, j’avais l’impression de sortir d’un lave-linge), mais qui offre d’incroyables sensations. Si vous êtes comme moi du genre à aimer conduire sur les petites routes de campagne, je vous invite vraiment à essayer. Si vous voulez en savoir plus, je vous mets en lien le site où j’ai déniché mon stage de pilotage GT. Ce n’est pas tous les jours qu’on a l’occasion de conduire la voiture de James Bond ! Retrouvez plus de renseignements sur l’organisateur du stage de pilotage en Aston Martin.
Plan de gestion de l’utilisation des terres et réglementations de l’occupation des sols
La côte de la mer Rouge égyptienne a connu une croissance touristique sans précédent au début des années 80 en raison de son abondante vie marine comprenant des récifs coralliens. En 2001, l’Autorité de développement du tourisme (TDA) a lancé un plan de gestion des terres et un processus de réglementation de l’occupation des sols de la zone sud de la mer Rouge afin de gérer l’expansion à venir du tourisme dans une zone connue pour sa forte densité en récifs frangeants et en zones protégées. Le plan de gestion de l’utilisation des terres a été développé en reconnaissant que les ressources et les sites de la région ont des capacités d’adaptation aux activités touristiques différentes. L’identification de ressources clés dans la planification de la zone, et une analyse de la sensibilité de ces ressources a été menée afin de définir le niveau et le type d’utilisation touristique appropriés. L’évaluation de la sensibilité des ressources et le schéma d’occupation des sols ont été développés en tenant compte des étapes suivantes: 1. La collecte de données sur les conditions de chaque ressource et la subdivision de la zone de planification selon les sous-zones naturelles / les habitats, 2. La classification en sous-zones / habitats et la sensibilité à la pression touristique (faible, moyenne, élevée), 3. Le développement de schémas d’occupation des sols pour les sous-zones, en fonction de leur sensibilité environnementale, 4. Le développement de réglementations de conservation, la gestion et le développement pour les zones de gestion de l’occupation des terres. Cinq zones de gestion, correspondant aux différents grades de sensibilité ont été proposées pour la planification de la région. Le plan de gestion de l’utilisation des terres a également introduit des réglementations générales associées à chaque zone de gestion (stipulation du type et de la densité des logements dans chaque zone). La réglementation de l’occupation des sols a conduit à la modification, et dans certains cas à l’annulation de plans de développement dans certaines zones. Les réglementations, basées sur des critères combinant sensibilité écologique et viabilité économique, ont été approuvées par la TDA, l’Agence égyptienne des affaires environnementales et le Gouvernorat de la mer Rouge. Le plan de gestion des terres et le projet d’occupation des sols sont des composants de l’Initiative de tourisme durable de la mer Rouge, toujours active en 2009, laquelle intègre également le suivi environnemental, l’évaluation de l’impact et la diffusion des informations sur les meilleures pratiques ainsi que des formations et de la sensibilisation.
En avion de chasse
Parce qu’il m’aurait été bien utile, ce docteur, ce jour-là ! Quand j’ai projeté d’accomplir un vol en avion de chasse (en tant que passager, évidemment), je croyais savoir de quoi il retournait. Je croyais être formé puisque j’avais déjà fait un baptême dans un avion biplace l’année dernière. Sot que j’étais, ô grand naïf. Comme je l’ai observé une fois sur place, un vol à bord d’un avion de chasse est bien différent d’un vol à bord d’un avion ordinaire. En fait, on pourrait même dire que ça n’a rien à voir. Le raffut des moteurs, pour commencer : il est est assourdissant. L’odeur n’est pas non plus celle, aseptisée, qu’on trouve dans les avions de ligne : non, là, c’est l’odeur du kéro qui domine. Le vêtement n’est pas le costume-cravate de tous les jours, mais celui, plus exotique, de la combinaison de vol. Et la simple ceinture de vol est remplacée par un harnais à quatre points pour vous maintenir fermement arrimé à votre siège. La sensation qu’on éprouve une fois en vol est également très différente. Vous avez déjà vu un vol sur un avion de ligne où vous vous retrouvez la tête en bas, vous ? Et pourtant, c’est dans cette position que je me suis retrouvé à de nombreuses reprises lors de ce vol si particulier. Le pilote, Jean-Mich’, a en effet commencé par un vol plutôt tranquille, mais s’est ensuite lancé dans une session d’acrobaties aériennes où j’ai vu toute ma vie (et mon déjeuner) passer devant mes yeux ! Vol dos, virages, boucles… j’ai eu droit à la totale ! Difficile de décrire ce qu’on éprouve dans un tel moment, quand on passe de +5g à -1g en deux secondes. Je crois que l’organisme n’est pas fait pour supporter des traumatismes comme celui-là. Pour vous donner une idée de la violence de l’expérience : il me fallait contracter les muscles en permanence rien que pour éviter de m’évanouir ! La voltige était telle que je n’ai pas même eu le temps de saisir le sac à vomi accroché à mon harnais : j’ai littéralement refait la décoration intérieure du cockpit ! Et pourtant, si on me le proposait, je le referais sans l’ombre d’une hésitation (mais pas Jean-Mich’, j’en mettrais ma main à couper) ! Je vous laisse le lien vers le site spécialiste de cette activité de baptême de l’air en avion de chasse L39.
Syrie : se retrouver
En quatre ans, Mohammad al-Hassan n’a eu des nouvelles de son fils qu’une seule fois, lorsque ce militaire syrien a salué à la radio son père pris au piège à Raqa, fief des jihadistes de l’Etat islamique (EI). Cet homme de 62 ans, père de neuf enfants, est aujourd’hui le chef d’une famille déchirée: il n’a aucun contact avec un deuxième fils –également militaire– depuis 2013 et n’a pas revu deux de ses filles depuis 2014. Il y a trois mois, Mohammad est parvenu à s’enfuir avec le reste de sa famille de la « capitale » de l’EI en Syrie, et a échoué comme des milliers de personnes dans un camp de déplacés à Aïn Issa, à plus de 50 km au nord de Raqa. Depuis, lui et sa femme Nazira ne rêvent que d’une seule chose: revoir leurs quatre enfants sains et saufs. « Nous ne savons pas s’ils sont morts ou vivants », affirme nerveusement Nazira, devant sa petite tente dans ce camp poussiéreux. « Et eux ne savent rien de nous », ajoute Mohammad, la barbe blanche. La famille est sans nouvelle des garçons depuis 2013, année durant laquelle les rebelles ont chassé le régime syrien de Raqa. Et la dernière rencontre avec les filles — mariées et installées à Hassaké, une ville du nord-est syrien contrôlée par les forces kurdes– remonte à 2014. Cette année-là, les rebelles sont chassés à leur tour par l’EI, devenu tout puissant en Irak et en Syrie. – ‘L’EI nous surveillait’ – Avec l’approche des Forces démocratiques syriennes (FDS, alliance arabo-kurde antijihadiste soutenue par Washington) de la périphérie de Raqa, Mohammad a quitté son quartier de Mechleb avec sa femme et ses cinq autres enfants et leurs familles à bord de motos, n’emportant que leurs vêtements. « Je n’ai pas entendu la voix de mes fils depuis près de cinq ans. L’EI nous surveillait et nous disait ‘si vous tentez de leur parler, vous serez coupables de parler avec des noussaïris' », se souvient Mohammad. « Noussaïris » est un mot péjoratif que les jihadistes de confession sunnite utilisent pour désigner les alaouites, communauté musulmane hétérodoxe minoritaire en Syrie et dont est issu le président Bachar al-Assad. Par extension, le mot peut désigner un loyaliste. Abou Samir, un ami, intervient dans la conversation: « la seule fois où on a entendu la voix de Sami, c’est lorsqu’il a salué son père à la radio », dit-il, alors que Mohammad acquiesce à côté. « L’EI nous a asphyxiés à Raqa », assure le père de famille. Chaque jour, sa femme aux yeux marrons clairs réclame une autorisation pour pouvoir sortir du camp. Le document doit être tamponné par les Assayech, la police kurde. « Ils me répètent que la liste de ceux qui veulent sortir du camp est longue », se plaint-elle. Dans le camp, qui abrite actuellement 7.000 déplacés selon les responsables, une multitude de gamins jouent entre les tentes, à l’intérieur desquelles des femmes épluchent pommes de terre et tomates. Alors que la température avoisine les 50 degrés Celsius, des matelas ont été installés devant les tentes, certains préférant dormir à la belle étoile. Mais le sommeil de Mohammad et Nazira est troublé par l’angoisse de la séparation de leur progéniture.
Réussir son placement sur internet
Comment réussir dans le marketing en ligne en utilisant un spécialiste de l’optimisation des moteurs de recherche? Le marketing en ligne est difficile et lorsque vous entrez dans ce marché, vous allez faire face à beaucoup de concurrence. Malheureusement, il peut être vraiment difficile d’atteindre le succès parce que le marché est rempli de très bons commerçants en ligne qui savent quoi faire pour réussir. Vous devez comprendre que même ceux qui atteignent le succès élevé n’ont pas réussi à le faire seul. Il n’y a pas une seule personne là-bas qui sait tout et c’est également le cas dans le marketing en ligne. Vous pouvez avoir le meilleur produit possible, mais si vous n’atteignez pas le public cible, vous n’allez pas avoir de succès. C’est là que de bons spécialistes en optimisation de moteur de recherche peut vraiment vous aider. Un spécialiste SEO sait quoi faire pour rendre vos pages Web plus accessible pour les gens. En grimpant plus haut dans les moteurs de recherche, vous atteindrez un public plus large et vous serez en mesure de faire plus de ventes. Aussi, même si vous n’avez pas un produit et sont la promotion de quelqu’un d’autres produits, vous pouvez toujours bénéficier de rangs plus élevés des moteurs de recherche. SEO spécialistes seront en mesure de choisir les meilleurs mots-clés pour promouvoir votre entreprise et ensuite promouvoir le site. Aussi, en travaillant avec eux, vous pouvez éviter de perdre beaucoup de temps en faisant des tâches SEO seul. En fait, la plupart des acheteurs en ligne qui ont atteint le succès sont l’externalisation SEO à une entreprise différente afin de se concentrer sur ce qui est réellement leur faire de l’argent. SEO ne fait pas directement de l’argent. Optimisation des moteurs de recherche vous aide à obtenir des résultats plus élevés des moteurs de recherche afin que plus de clients potentiels peuvent consulter vos offres. Si vous vous concentrez sur ces offres et laisser quelqu’un d’autre pour faire SEO, vous serez en mesure de fournir un service beaucoup mieux pour les gens qui arrivent à votre site. En utilisant les services de spécialistes de l’optimisation des moteurs de recherche, vous économiserez également de l’argent. SEO est une nécessité et si vous ne louez pas quelqu’un pour le faire pour vous, alors vous devez le faire vous-même. Depuis le marketing en ligne est tout au sujet du temps que vous gagnez et la vitesse, vous pouvez facilement comprendre comment chaque minute que vous gagnez peut se traduire en argent. Aussi, quand vous ne savez pas exactement ce qui doit être fait, vous finirez par perdre de l’argent parce que vous n’êtes pas efficace. Spécialistes SEO sont très efficaces dans ce qu’ils font de sorte en les embauchant, vous êtes réellement économiser de l’argent au lieu de simplement perdre de l’argent. Certains diront que vous avez encore à payer pour leurs services, mais si vous faites les calculs, vous remarquerez rapidement qu’il est beaucoup plus abordable d’embaucher des spécialistes de l’optimisation de moteur de recherche au lieu de faire tout le travail de SEO vous-même. Nous vous recommandons fortement d’envisager d’utiliser des spécialistes en SEO lorsque vous opérez dans l’industrie du marketing en ligne. Il ya seulement des avantages qui peuvent être gagnés. Tout ce que vous avez vraiment besoin de prêter attention à l’embauche de la société qui convient le mieux à vos besoins personnels.
Porter un projet
Tout au long du projet et au-delà de sa mise en œuvre, l’entreprise devra idéalement être repré- sentée au sein de la communauté par ce porte-parole qui assurera le lien et la communication entre la communauté et l’entreprise. Autrement dit, un changement de porteur de projet en cours de processus engendre un vide dans les communications et exige que le remplaçant rétablisse les liens avec le milieu d’accueil. La constance des liens qui unissent l’entreprise et le milieu est donc primordiale. Puisque le porte-parole doit assurer une présence locale, cette personne doit être facilement accessible, non seulement par téléphone et par courriel, mais également sur place physiquement. Une connaissance de la région qui s’acquiert par une fréquentation assidue et de longue date constitue un atout important; le porte-parole y gagnera en crédibilité et en efficacité. Le porte parole doit, en tout temps, disposer de toute l’information pertinente concernant le projet et disposer d’un pouvoir décisionnel afin de modifier le projet. À cette fin, l’entreprise aurait intérêt à former un groupe de travail afin de coordonner l’information et les efforts à l’interne, groupe auquel se joindra le porte-parole. Celui-ci doit également occuper une fonction hiérarchiquement supérieure au sein de l’entreprise. En effet, le porte-parole négocie avec la communauté et est appelé à prendre des engagements au nom du promoteur. Il est essentiel qu’il souscrive à ces engagements en toute connaissance de cause, en collaboration avec les équipes concernées à l’interne, et qu’il puisse ensuite respecter ses engagements. Une entreprise qui ne confère pas suffisamment de marge de manœuvre à son porte-parole afin qu’il puisse agir de manière efficace pour prendre des décisions, réduit considérablement sa crédibilité et risque d’ébranler le processus de consultation. Si une seule personne ne peut réunir ces qualités, il est possible de rassembler plusieurs talents. Par exemple, un cadre peut agir à titre de porte-parole de la compagnie et se faire accompagner et conseiller par un individu qui détient une connaissance approfondie de la région. À l’occasion d’un changement de porte-parole, il importe d’assurer adéquatement la transition auprès des interlocuteurs au sein de la communauté mais également au sein de l’entreprise. Dans l’hypothèse où le promoteur ne bénéficie pas d’une bonne réputation, il est recommandé qu’il s’allie à un tiers crédible dès cette étape, de préférence une entité locale ou régionale, afin de mener la consultation préalable ainsi que la prochaine phase d’information et de consultation.
L’Auvergne en hélico
Nous sommes tant habitués à ce monde qu’on n’y prête plus vraiment attention. On le sillonne chaque jour en voiture, et il se réduit à un décor auquel on prête peu attention. Mais je pense que quelquefois renouer avec lui. Ce que j’ai fait avant-hier, grâce à un baptême en hélico à Clermont en Auvergne. Suivant l’exemple de John Keating, je me suis élevé pour découvrir notre belle planète sous un angle neuf. Tout là-haut, j’ai pu contempler des paysages fascinants. Mais le vol s’est révélé être bien plus qu’une succession d’images de cartes postales. Son principal intérêt était dans le fait de découvrir combien le monde des hommes est minuscule. Lorsqu’on est en bas, plongé dans sa vie, on pense que le monde des hommes représente tout, et que nos vies sont importants. Pourtant, il suffit de contempler le monde d’en haut pour voir combien nos vies ont peu d’importance. Au menu du jour, 20 minutes de ravissement.
Un vol à bord d’un hélicoptère est assez étrange. L’appareil s’envole progressivement : l’envol se fait donc en toute tranquillité. Pour autant, une fois là-haut, on a plus de sensations que dans un avion : l’appareil penche en avant pour aller de l’avant, de fait ça fait quelque chose dans l’estomac. Ce n’est pas franchement insupportable ni de vraiment terrifiant : c’est juste étonnant.
A quelques centaines de mètres d’altitude, la ville n’est qu’une simple tache sur le tissu de la terre. J’ai compris que toutes ces choses qui agrémentent notre quotidien ne sont finalement que de simples grains de poussière dans l’immensité du monde. Et que nous vivons le temps d’un battement de coeur au regard de l’univers. C’est une vérité que nous savons tous, évidemment, mais le fait de savoir tout ça et le fait de l’éprouver. On sait aujourd’hui que l’homme n’est pas au centre du monde. Mais au quotidien, nous gardons l’impression d’être le centre de tout. C’est une magnifique expérience que de sortir de sa carapace et de prendre conscience de la grandeur du monde. Si vous en avez un jour la possibilité, je vous conseille chaudement d’effectuer un vol en hélicoptère. Pour en savoir plus, je vous recommande la lecture du site sur ce de baptême de l’air en hélicoptère en Auvergne qui est très bien fait sur ce sujet.
L’Écosse juge «logique» un référendum d’indépendance
La première ministre écossaise Nicola Sturgeon a jugé jeudi «logique» l’automne 2018 comme possible date pour organiser un nouveau référendum d’indépendance, dans un documentaire sur la BBC. Interrogée sur la possibilité d’un second référendum d’autodétermination, Mme Sturgeon a assuré «ne rien exclure» face au Brexit, dont les Écossais ne veulent pas. Questionnée spécifiquement sur la possibilité qu’il se tienne à l’automne 2018, elle a répondu: «je pense que quand le genre d’accord obtenu par le Royaume-Uni sur la sortie du pays de l’Union européenne deviendra clair, ce serait une date logique (…) si c’est le chemin que nous choisissons de prendre». Depuis le référendum du 23 juin qui a vu les Britanniques voter à 52 % en faveur d’une sortie de l’UE, Mme Sturgeon a répété à plusieurs reprises qu’un référendum d’indépendance était «légitime» et «très probable» parce que les Écossais s’étaient prononcés à 62 % pour un maintien dans l’UE. Début mars, la première ministre britannique Theresa May avait dénoncé l’«obsession» pour l’indépendance de l’Écosse du parti nationaliste écossais SNP de Mme Sturgeon. Le référendum d’autodétermination organisé en septembre 2014 avait vu les Écossais voter à 55 % en faveur du maintien au sein du Royaume-Uni. Selon un sondage de l’institut Ipsos Mori publié jeudi, et effectué entre le 24 février et le 6 mars, l’indépendance connait un gain de popularité avec 49 % des sondés qui y seraient favorables contre 51 % défavorables, les indécis ne représentant que 0,6 %. 52 % des 1029 personnes interrogées estiment par ailleurs que Mme Sturgeon «fait un bon travail» pour défendre les intérêts des Écossais face au Brexit, contre 24 % qui estiment que Mme May défend bien leurs intérêts. La première ministre écossaise Nicola Sturgeon a jugé jeudi «logique» l’automne 2018 comme possible date pour organiser un nouveau référendum d’indépendance, dans un documentaire sur la BBC. Interrogée sur la possibilité d’un second référendum d’autodétermination, Mme Sturgeon a assuré «ne rien exclure» face au Brexit, dont les Écossais ne veulent pas. Questionnée spécifiquement sur la possibilité qu’il se tienne à l’automne 2018, elle a répondu: «je pense que quand le genre d’accord obtenu par le Royaume-Uni sur la sortie du pays de l’Union européenne deviendra clair, ce serait une date logique (…) si c’est le chemin que nous choisissons de prendre». Depuis le référendum du 23 juin qui a vu les Britanniques voter à 52 % en faveur d’une sortie de l’UE, Mme Sturgeon a répété à plusieurs reprises qu’un référendum d’indépendance était «légitime» et «très probable» parce que les Écossais s’étaient prononcés à 62 % pour un maintien dans l’UE. Début mars, la première ministre britannique Theresa May avait dénoncé l’«obsession» pour l’indépendance de l’Écosse du parti nationaliste écossais SNP de Mme Sturgeon. Le référendum d’autodétermination organisé en septembre 2014 avait vu les Écossais voter à 55 % en faveur du maintien au sein du Royaume-Uni. Selon un sondage de l’institut Ipsos Mori publié jeudi, et effectué entre le 24 février et le 6 mars, l’indépendance connait un gain de popularité avec 49 % des sondés qui y seraient favorables contre 51 % défavorables, les indécis ne représentant que 0,6 %. 52 % des 1029 personnes interrogées estiment par ailleurs que Mme Sturgeon «fait un bon travail» pour défendre les intérêts des Écossais face au Brexit, contre 24 % qui estiment que Mme May défend bien leurs intérêts.
A Salzbourg
« Il faut que je voie cet endroit. » C’est une phrase qui revient souvent chez moi. Je me suis rendu dans tant de coins incroyables au cours de ma vie. Simplement parce que j’en avais vu une photo, ou la description dans un roman. Une fois installée, l’envie de découvrir le lieu de mes propres yeux ne disparaissait plus. Des années se sont souvent écoulées avant que ma femme et moi ne fassions le voyage, mais j’ai toujours fini par m’y rendre pour voir par moi-même. Récemment, par exemple, j’ai fini par découvrir Salzbourg pendant un voyage de groupe, alors que cela faisait à peu près deux ans que j’avais envie d’y aller. Néanmoins, ce dont je me suis rendu compte au fil des années, c’est que ce ne sont pas nécessairement les sites les plus connus qui sont les plus palpitants à visiter. Certains endroits sont en fait tellement célèbres que la réalité s’y révèle incapable de combler nos attentes. Comme si nous avions déjà trop vu ces lieux pour nous en étonner, pour les savourer. J’avais par exemple si souvent croisé la route 66 au cinéma que sa découverte IRL ne m’a pas fait grand effet, au final (j’ai préféré à cet égard les routes du Maroc). Je pense que les sites les plus connus méritent tout de même qu’on leur sacrifie un regard, mais que ce sont surtout les sites moins convenus qui font vraiment effet. De nos jours, pouvoir découvrir un site sans en avoir d’image préétablie fait tout le sel de l’aventure. Un sel d’autant plus précieux qu’il devient de plus en plus rare : on voyage essentiellement à coup de guides et de recommandations. Or, il me semble que c’est dans ces moments-là quand on découvre un lieu sans rien en connaître, qu’on découvre le plus. Si la rencontre de la faune procure d’ailleurs toujours un tel bonheur, c’est parce que nous n’avons aucune certitude à l’avance d’apercevoir ou non des créatures sauvages. C’est ce qui fait qu’observer un ours brun s’emparer d’un saumon au-dessus d’un ruisseau déchaîné et n’en faire qu’une bouchée est une image que l’on garde à vie. Pendant mon voyage de groupe en Autriche, je me suis également rendu compte d’une chose : par moments, le plus beau du voyage n’est pas même dehors mais dedans. De fait, les meilleurs souvenirs de ce dernier voyage resteront les échanges que nous avons pu avoir dasn le bus avec d’autres participants. Bref, tout ça pour dire que lorsqu’on part en voyage, il faut sortir la tête de son guide : le plus important n’est presque jamais dans les momuments qu’il décrit, mais justement entre les lignes. Si ce voyage en Autriche vous intéresse, je vous invite n tout cas à jeter un coup d’oeil sur le site par lequel nous sommes passés !